Aliose
est un duo d'auteurs-compositeurs-interprètes suisse, composé d'Alizé Oswald et Xavier Michel. En 2009, le duo sort un premier album et depuis il ne cesse de se produire, avec succès, sur les scènes du pays. Il s’impose comme véritable représentant de la chanson française en Suisse. Le duo a également fait des tournées hors de la Suisse puisqu’il s’est produit en Chine, au Népal, en Arménie, en Argentine ou encore en Angleterre.

C’est Xavier qui s’est prêté au jeu de l’interview.

1. Quel vin vous lie à la famille Rouvinez et pourquoi ?

Des liens familiaux nous lient déjà à la famille Rouvinez, puisque mon frère a épousé une cousine de Frédéric, Philippe et Véronique. Côté vin, je dirais le Cœur de domaine rouge, car lorsque mon beau-frère (valaisan lui aussi) a appris que notre fille Aïcéa était née, il était au rayon vin d’un grand magasin, et il a acheté alors du tac au tac un Cœur de domaine pour fêter ça. Elle attend à la cave une bonne occasion pour être partagée.

2. « Comme des gangsters », vous fuyez la cave Rouvinez. Quel vin emportez-vous ?

La cave Rouvinez à la Colline de Géronde, on l’avait découverte en 2013 lors d’un concert d’Aliose à l’occasion d’un triple anniversaire où nous étions invités à jouer. Un joli moment dont nous avons de bons souvenirs ! On partirait avec un Tourmentin. On aime bien offrir du vin suisse à nos amis français. On en avait d’ailleurs apporté chez Maxime Le Forestier et famille, je me souviens. Quand on va dans leur maison de campagne, on apporte chaque fois un assortiment différent d’une cave suisse qu’on apprécie. On n’achète d’ailleurs quasi que du vin suisse.

3. Vous buvez du vin avant ou après un concert ? lequel ?

Avant et après ! Je dirais un Château Lichten, comme ça en une réponse on boit déjà deux vins, la Petite Arvine avant, excellente, et l’assemblage rouge après… Mais la vraie tradition dans l’équipe d’Aliose, c’est un verre de whisky avant de monter sur scène !
C’est déjà l’heure de s’en aller ? Bon, allez, encore une petite bière l’Echappée pour la route, en rangeant le matériel… 😉

4. Quel vin vous a manqué lors de votre tournée en Chine en 2011 ?

On va dire le petit Heida de l’apéro ! Sans doute le vin Rouvinez que mon frère nous a le plus servi. Petite anecdote coquasse, je ne sais plus trop pourquoi mais nous avions mangé une fondue (au fromage) à Pékin, au Swissôtel, accompagnée évidemment d’un Fendant, mais je ne sais plus lequel. On a également mangé, je ne sais plus où, à Guangzhou ou Wuhan je crois, une fondue chinoise avec une viande qu’on a eu du mal à identifier, qu’en tout cas on n’avait jamais goûtée, et d’étranges champignons... Un Cornalin Rouvinez aurait été parfait ce jour-là.

5. Pour quel vin seriez-vous capable de faire une folie ?

Pour un Cœur de domaine blanc. Mais alors un Jéroboam, pour une folie ! Et reste à savoir quelle folie…